Moyens matériels et politique RSE

Tessix s'engage et souhaite montrer l'exemple.

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L'option autopartage

Pour les déplacements en Hauts-de-France pour lesquels l’usage de train n’est pas raisonnablement possible, Tessix recoure à la solution d’autopartage Citiz, société coopérative basée à Lille et Arras. Citiz est un pionnier des technologies de l'autopartage, fondé dès 2002 et implanté depuis 2007 à Lille. Pour les entreprises, l’autopartage est un choix économique et pratique, mais également écologique et citoyen. Source : https://lille.citiz.coop/professionnels

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Du matériel durable et réparable

Grâce à la société coopérative Commown, Tessix dispose de matériel informatique durable et entièrement réparable. Mines détenues par des milices, exploitation d’enfants dans les unités d’assemblage, conditions de travail déplorables, empreinte carbone astronomique, trafic illégal de déchets électroniques, recyclage quasi-impossible de certains métaux constitutifs des appareils… Cette liste incomplète illustre les “coûts cachés” qui jalonnent le cycle de vie d’un produit électronique aujourd’hui. Source : https://commown.coop/ 

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Des logiciels libres tant que possible

Lorsque c’est raisonnablement possible, Tessix privilégie les logiciels libres moins gourmands en données et énergies. Ces solutions sont également plus compatibles avec la protection de vos données. Le conseil “des logiciels libres” institué par la direction interministérielle du numérique a tranché : il ne fait aucun doute que l’utilisation des logiciels libres augmente la durabilité des ordinateurs, smartphones et autres objets connectés. Source : https://acteurspublics.fr/articles/pour-letat-le-logiciel-libre-rime-avec-sobriete-numerique

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Un placement bancaire responsable

Les comptes de Tessix sont basés au Crédit Mutuel, banque mutualiste et engagée à ne plus financer les énergies fossiles. La Banque postale et le Crédit mutuel sont considérés comme des «leaders montrant l’exemple» dans l’exclusion des énergies fossiles, parmi les meilleurs élèves au monde, et d’assez loin. Que ce soit dans la faiblesse des financements opérés (respectivement) mais aussi dans les engagements et les actes. Source : https://www.liberation.fr/environnement/climat/financement-des-energies-fossiles-par-les-banques-francaises-les-bons-et-les-mauvais-eleves-20220330_7XM7Y6HW2VH6RFF7ZAQSOQDI6E/